A la demande de certains qui n'ont pas pu entendre le texte du procès:
Le juge : Aujourd’hui, à Périgueux, nous allons juger GUEANT, le sinistre de l’intérieur, pour l’ensemble de son œuvre, et en particulier pour ses positions anti motardes.
Le juge : Qu’as-tu à dire pour ta défense ?
Guéant : Ce n’est pas de ma faute, je voulais faire plaisir à mon maître, Nicolas, c’est lui qui ne vous aime pas.
Le juge : Pourquoi, il ne nous aime pas ?
Guéant : Vous êtes des rebelles, vous n’acceptez rien, vous manifestez, et ça l’énerve.
Le juge : Et le contrôle technique, tu y crois ? Tu sais où tu peux te le mettre ?
Les motards : Au c...!
Le juge : Et tes grandes plaques, tu oses dire que c’est pour notre sécurité. Tu sais où tu peux te les mettre ?
Les motards : Au c...!
Le juge : Et le gilet jaune ?
Guéant : Ca je ne l’ai pas dit !
Le juge : Mais tu l’as écrit !
Guéant : Oui mais je l’ai retiré, à cause de la FFMC, et j’ai viré Merli.
Les motards : Hou !
Le juge : Parlons de tes brassards rétro-réfléchissants. Qu’as-tu à dire ?
Guéant : C’est Nicolas qui m’a dit : les motards c’est des couilles molles, et si tu arrives à leur faire porter ça, la prochaine fois on leur fout des clochettes.
Les motards : Hou, hou, hou!
Le juge : Mais tu es fou, tu aggraves ton cas, tu es irrécupérable, que la foule décide de ton sort !
Les motards : A mort !
Le juge : bourreau fait ton travail !
Et là on lui coupe la tête qu’on exhibera à la foule sur une fourche.